Violeurs d'enfants et pédophiles : peine de mort d'office !

Anna a écrit:

Oui après tout, puis c'est cool la prison, c'est vrai...

Au moins, t'es au chaud ...

Anna a écrit:

Oui oui, gloire à la vendetta!!!

Mais en plus, je ne vois pas pourquoi vous vous montrez si sceptique...Rachida Dati va transformer la Justice, non?

Enfin , tu reconnais qu'il était temps qu'on retrouve un ministre de la justice , après n'avoir connu et supporter que des ministres des délinquants ?


Oui , la vendetta , mais sais tu au moins ce qu'était la vendetta ??
Quand la Corse était sous le joug g^énois , la justice gênoise n'était qu'un simulacre de justice .
Les juges gênois donnaient toujours tort aux Corses victimes et soutenaiant les gênois , qu'ils aient pillé , violé ou tué .
C'est alors que la vendetta est née pour rendre justice aux Corses !
Cela devrait servir de leçon , quand une justice dysfonctionne et ne protège plus les victimes , elle expose à la vendetta , à la vengeance .
Si la justice a été créee , c'est pour permettre la vie en communauté ,en evitant que les familles de victimes soient amenées à se faire justice elle même !

vladana a écrit:

[sceptique...Rachida Dati va transformer la Justice, non?

Je crois q'ils auraient préféré Marine à ce ministère!!!![/quote]

Tu n'as décidément que la désinformation et le mépris à la bouche !
Quand nous postons pour vanter les mérites de rachida , l'ensemble des gauchistes ne se privent pas pour lui cracher dessus !

Merci pour le cours d'histoire en cinq lignes

livaste a écrit:

vladana a écrit:

[sceptique...Rachida Dati va transformer la Justice, non?

Je crois q'ils auraient préféré Marine à ce ministère!!!!

Tu n'as décidément que la désinformation et le mépris à la bouche !
Quand nous postons pour vanter les mérites de rachida , l'ensemble des gauchistes ne se privent pas pour lui cracher dessus ![/quote]
Ben moi, je n'ai choisi ni Marine, ni Rachida, je me permet donc de critiquer!

Je crois que dans une démocratie le premier fondement de la justice est de la dissocier de la vengeance.

Tu as raison de critiquer la Ministre de la Justice , tu préfèrais tes ministres des délinquants !

livaste a écrit:

Tu as raison de critiquer la Ministre de la Justice , tu préfèrais tes ministres des délinquants !

C'est un peu gros quand même... Xavier Bertrand va pas être content

beld a écrit:

Je crois que dans une démocratie le premier fondement de la justice est de la dissocier de la vengeance.

Bien entendu, c'est meme à ça que l'on reconnait un pays democrate à l'independance et à la neutralité de sa justice!
La justice juge pour l'interet de la societe et pas pour les victimes normalement.
Bien que les sociétés occidentales ont tendance es derniers temps à vouloir assurer un coupable sanctionné pour une victime.

vladana a écrit:

Bien que les sociétés occidentales ont tendance es derniers temps à vouloir assurer un coupable sanctionné pour une victime.

oui et des fois les chaînes de responsabilités en deviennent tirées par les cheveux...

En une vingtaine d'années, les condamnations pour agressions sexuelles commises sur des mineurs ont pratiquement doublé. Alors que les médias dépeignent le pédophile comme un pervers machiavélique, il semble que la réalité soit différente. Sans vouloir sous-estimer la gravité de leur acte, certains experts parlent aujourd'hui d'une pathologie de la relation humaine.

Les abus sexuels sont des crimes intolérables, inadmissibles et la société punit aujourd'hui leurs auteurs de lourdes peines d'emprisonnement. Mais la prison n'est peut-être pas la solution idéale contre la récidive. En appréhendant mieux le profil de l'agresseur, certains psychiatres font le pari de la prise en charge thérapeutique.

Pas de profil particulier du pédophile
Il est difficile de dresser un profil psychologique type du pédophile. Selon le Dr Roland Coutanceau, leur appartenance sociale et professionnelle n'est absolument pas caractéristique. S'ils sont issus de tous les milieux sociaux et intellectuels, on semble néanmoins les retrouver plus fréquemment dans des professions au contact des enfants : médecins, juristes, instituteurs, éducateurs, etc. Et ils seraient plus souvent célibataires.

Concernant la thèse de l'agresseur agressé (la victime devenant plus tard bourreau), les avis sont partagés. Certains experts récusent cette hypothèse la qualifiant de "série B de la pensée psychiatrique" alors que d'autres évoquent cet élément dans 30 % des cas !

L'attrait pédophilique est basé sur des désirs pour des corps prépubères. Mais la pédophilie connaît les mêmes variations que l'hétérosexualité. Cet attrait peut ainsi être exclusif, préférentiel ou secondaire, hétérosexuel, homosexuel ou bisexuel. Enfin, le fantasme pédophile ne suppose pas automatiquement un passage à l'acte. Ainsi, on ne peut pas actuellement évaluer le nombre d'abstinents qui se "limitent" à regarder des films ou des photos tout en vivant mal leur attrait sexuel pour les enfants. Mais selon le Dr Coutanceau, la médiatisation des faits de pédophilie a permis à certains d'entre eux de frapper à la porte d'un professionnel qui pourra les aider : un psychothérapeute ou un sexothérapeute.

Le pédophile prédateur n'est pas la règle
Mais la médiatisation a également ses effets pernicieux. Ainsi, l'écho des agressions sexuelles d'enfants les plus effrayantes a tendance à ne proposer qu'une version du pédophile : le pervers inhumain, sadique et violent. Mais l'acte, aussi odieux soit-il, ne suppose pas que tous les pédophiles possèdent un fonctionnement psychique pervers. L'expérience clinique de nombreux spécialistes contredit aisément cette vision.
Basés sur l'étude de 300 cas condamnés pour des délits allant des plus légers aux plus graves, les travaux publiés en 1998 par Martorell et Coutanceau montrent qu'une infime minorité de sujets est sadique. Chez eux, se combinent perversité et sexualité, ils seraient plus "prédateurs" ou "pédoclastes" que pédophiles à proprement parler. Un second petit groupe est constitué par des violeurs ou assassins, pour la plupart psychotiques ou déficients mentaux. Enfin l'écrasante majorité (80 %) sont de "tripoteurs" en quête d'attouchements, qui ne pratiquent que rarement le coït. Pour aborder les enfants, ces derniers usent exclusivement de la séduction.

Peut-on prévenir le passage à l'acte et la récidive ?
La très grande majorité des personnes ayant des fantasmes sur des enfants n'en parlent jamais. Pourtant, l'humanisation et la reconnaissance de la sexualité passe par cette parole. Les fantasmes pédophiles sont beaucoup plus fréquents que les passages à l'acte qui font office le plus souvent de compensation à des situations de crise au sein du couple, de déprime, etc. Le Dr Coutanceau résume ainsi : "Beaucoup d'agressions sexuelles sur mineurs ne sont pas faites par des pédophiles exclusifs mais par des personnes qui ont une sexualité mal épanouie. Ces gens immatures et égocentriques peuvent exceptionnellement déraper et se livrer à une agression. De plus, nombreuses sont les personnes pédophiles, attirées par les corps d'enfants pré-pubères, qui ne passent jamais à l'acte grâce à une charpente morale, éthique et une éducation familiale. Le problème n'est pas d'avoir des fantasmes, c'est de s'abandonner à les vivre en ne tenant aucun compte de l'autre".

Néanmoins parmi les pédophiles, le pourcentage de récidive est plus important que pour les autres crimes sexuels, on l'estime entre 10 et 30 %. Après avoir adopté des peines de prison parmi les plus lourdes au monde, la France a instauré en 1998 une injonction de soins pour les agresseurs sexuels à leur sortie. Ces soins "sous contrainte" peuvent ainsi se poursuivre pendant 10 ans pour les délits et 20 ans pour les crimes, sous peine de repasser par la case prison. Le traitement vise principalement à permettre à ces personnes de mieux vivre avec leurs fantasmes en favorisant une activité autoérotique (masturbation) ou en parvenant à orienter l'objet de leur désir vers des personnes adultes.

Mais la pénurie de psychiatres et de centres spécialisés de prise en charge retarde encore l'application de ces lois. Par ailleurs, même si les experts estiment que les résultats de ces thérapies sont bons, on ne dispose pas d'évaluations statistiques ni de suffisamment de recul pour le confirmer.

David Bême

Doctissimo.

+1 Pasdeparano (ouf c'est long lol)

Rajoutons à cela que les psy assignés aux prisons et autres trucs d'état s'impliquent vachement

Citation :

Tu as raison de critiquer la Ministre de la Justice , tu préfèrais tes ministres des délinquants !

T'es dure avec Clément quand même, il n'a pas couvert tout le monde non plus.

+1 PDP (tu vois Sav, un vrai feignant sait toujours comment s'en sortir )

La pédophilie sous la loupe d’un commissaire et d’un sociologue

Citation :

Pour la première fois en France, un bilan des connaissances sur la pédophilie vient d’être publié. L’étude, réalisée conjointement par un commissaire de police et un sociologue de l’Institut des hautes études de la sécurité intérieure, a pour objectif de lever les confusions existant dans ce domaine pour permettre de muscler la prévention et d’approprier le système pénal existant.

LE tabou et la confusion plombaient le sujet et donc toute tentative de prévention. C’est pourquoi le commissaire Catherine Montiel et le sociologue Renaud Fillieule, de l’Institut des hautes études de la sécurité intérieure (IHESI), se sont attelés à la tâche : définir la pédophilie ; évaluer l’ampleur du phénomène ; recenser les moyens de lutte contre les abus sexuels et l’exploitation des enfants. Il est né de ce travail un document, intitulé « la Pédophilie » (1) et publié le mois dernier. Soixante-quinze pages de données compulsées, vulgarisées, afin que le texte puisse être compris du grand public et des institutions liées au monde de l’enfance.

« Attirance sexuelle envers les enfants prépubères », telle est la définition de la pédophilie proposée par le rapport.
Une définition psychiatrique qui distingue d’abord la pédophilie de l’inceste et des atteintes sexuelles sur les adolescents. « Il était nécessaire de faire la différence entre ces troubles, souligne le commissaire Montiel, notamment car le traumatisme subi par la victime n’est pas de même nature et nécessite un soin approprié. »
Le passage à l’acte du pédophile répond à un « scénario » spécifique, relève l’étude. Il prend sa source « dans des sentiments, des préférences et des croyances » et s’opère suivant une stratégie, une préméditation très sophistiquée, prenant en compte le mode d’approche de la victime, sa sélection, le premier contact, l’évaluation des risques. « On associe souvent l’acte pédophile à des crimes perpétrés de manière très violente. Mais la plupart des pédophiles agissent au contraire avec subtilité. Ils font en sorte d’être appréciés par l’entourage de l’enfant et par l’enfant lui-même. Il est d’ailleurs pour cela très difficile de les repérer. Et les dénonciations des victimes souvent difficiles à entendre. »
Le profil du pédophile explicité dans l’étude n’a pas été retenu par le Code pénal. Juridiquement, il n’existe pas de délit ou de crime de pédophilie. « Elle est réprimée, non pour elle-même, mais pour les actes auxquels elle peut conduire », note le rapport. Et cette absence de définition précise freine considérablement le travail de prévention et de suivi des pédophiles, soulignent les auteurs de l’enquête. Différentes études reprises dans l’enquête montrent en effet qu’un pédophile multiplie les passages à l’acte et le nombre de ses victimes. Or, l’agresseur est souvent condamné sur la base d’une seule plainte. « Même s’il existe des listes de noms de pédophiles répertoriées par les institutions travaillant dans le secteur de l’enfance, aucune loi n’empêche aujourd’hui un pédophile d’exercer une profession liée aux plus petits », explique le commissaire.

Alors, comment prévenir la récidive ? Outre la proposition d’un projet de loi début 1997, soumis au Comité d’éthique qui a rendu un avis mitigé sur ce texte, largement développé dans le document, les auteurs insistent sur la nécessité de lever le tabou sur le sujet.
« Nombre d’affaires sont encore étouffées, a constaté le commissaire Montiel, responsable durant neuf ans de la brigade des mineurs des Yvelines. Lorsqu’un enfant est victime de ce type d’abus, les adultes, que ce soient la famille ou des responsables d’établissement, ont souvent comme réflexe d’écarter le pédophile et de taire l’affaire afin de ne pas traumatiser l’enfant. Or, le mal est fait, le traumatisme existe. Et la parole est l’un des moyens essentiels dont dispose la petite victime pour exorciser cette agression. D’autant que le refoulement d’un tel acte peut avoir - ce n’est pas systématique heureusement - pour conséquence une reproduction de l’acte par la victime devenue adulte. » Les auteurs pointent aussi la nécessité de « prendre toujours au sérieux la parole d’un enfant. Les dénonciations sont très souvent vérifiées. Et, s’il y a mensonge, il reste de toute manière l’expression d’un malaise ».




(1) Le document peut être obtenu en téléphonant ou en écrivant à l’IHESI, 19, rue Péclet, Paris 15e. Tél. : 01.53.68.20.30.




ANNE CICCO.

Au afit , le journal réac qui a repris publié cet article c'est .. l'huma !

Le Duelliste a écrit:

Citation :

Tu as raison de critiquer la Ministre de la Justice , tu préfèrais tes ministres des délinquants !

T'es dure avec Clément quand même, il n'a pas couvert tout le monde non plus.

) )

Non , mais il a fait quelque chosde celui là ?