Divorce possible de Nicolas et Cécilia Sarkozy

la cagoule a écrit:

http://tf1.lci.fr/infos/france/separation-sarkozy/

ça serait la deuxieme fois.

Avec cette vie conjugale de gauchiste , ça fait encore un argument de moins pour oser dire qu'il est de droite comme le prétend la pensée unique médiatique dans ce pays....

Ce genre de propos est un peu gros.
La cagoule (déjà le pseudo est une provoc' à lui tout seul!) est-elle ce qu'elle dit être ou un provocateur qui cherche à discréditer les idées de droite?
A suivre...

C'est pas un mal non plus...Allô, nous sommes en 2007.
Moi je suis fille de dicorcés depuis mes 11 ans, et tu vas être étonnée, mais j'ai survécu.
J'ai une famille recomlposée que je chéris et pleine d'amour, ce que je souhaiterais à tous les gens pleins de toutes les haines du monde...

la cagoule a écrit:

http://tf1.lci.fr/infos/france/separation-sarkozy/

ça serait la deuxieme fois.

Avec cette vie conjugale de gauchiste , ça fait encore un argument de moins pour oser dire qu'il est de droite comme le prétend la pensée unique médiatique dans ce pays....

Parce que quand on divorce maintenant on est de gauche ? Une chose, être de droite ne veut pas dire être catholique intégriste, je défends quiconque de dire cela, même si je ne suis plus à l'UMP mais à alternative libérale. Etre de droite ne veut pas dire être pour le mariage à vie. Là, on en arrive à un débat d'un autre âge.

Citation :

La cagoule (déjà le pseudo est une provoc' à lui tout seul!) est-elle ce qu'elle dit être ou un provocateur qui cherche à discréditer les idées de droite?

Je me suis demandé dès le début, j'ai eu envie de la coincer sur Vitrolles

Divorcer est une chose, c'est meme arrivé à nombre de mes amies, etre litterralement débauché en est une autre surtout quand on est à un poste qui doit incarner la stabilité de l'Etat et de la Nation.
Pour moi c'est plus symptomatique d'un laxisme à la gauchiste qu'autre chose.

Mais oui, Sarko hérault et héros de la gauche, perverse...

Mais Sarko est monosexuel. Il ne s'affiche pas avec toutes les drogues possibles et imaginables. Il est catho. Il ne viole pas de chtis nenfants. Il n'est pas le meilleur ami de Castro et Chavez.

Non, désolée, Sarko n'a pas encore toutes les belles valeurs de gauche.
Désolée ma p'tite dame d'extrême droite.

Deniserp a écrit:

Etre de droite ne veut pas dire être pour le mariage à vie.

La CSU -un vrai parti de droite- n'a pas exactement réagi de la même manière face aux propositions de Gabriele Pauli allant dans ce sens.

Citation :

Une chose, être de droite ne veut pas dire être catholique intégriste.

Un catholique intégriste féliciterait Nicolas Sarkozy puisqu'il vient de répudier non pas son épouse légitime -ils n'étaient pas mariés religieusement si je ne m'abuse- mais sa concubine, à l'image d'un roi de France agonisant. :p

Franck qui est-ce sur ton image perso?

François Steyn, un jeune arrière sud-africain.

Et bien il est très beau

la cagoule a écrit:

etre litterralement débauché en est une autre surtout quand on est à un poste qui doit incarner la stabilité de l'Etat et de la Nation.

C'est quoi être littéralement débauché ? Se marier, divorcer et se remarier ensuite ? Zut alors, pour peu qu'il ait fait les gosses en plus tu te rends compte ? Faudra m'expliquer pourquoi tu assimiles le divorce à la gauche toi parce que, jusqu'à présent, nous n'avons pas eu d'explication...

Et puis ça doit être la mode en ce moment, le couple Ferrari/Hugues se séparent aussi ! Vive les débauchés !

Citation :

Dans une interview à l’Est Républicain, la désormais ex-première dame de France s’exprime pour la première fois depuis l’annonce de son divorce avec le chef de l’État.

Quelques heures seulement après l’annonce de son divorce, Cécilia Sarkozy parle. Dans le quotidien régional l’Est Républicain paru vendredi, Cécilia Sarkozy déclare à propos de son couple : " On a tout essayé, j'ai tout essayé. Simplement, ce n'était plus possible". Racontant avoir "rencontré quelqu'un" en 2005, être "tombée amoureuse", puis être "partie" du foyer conjugal, Cécilia Sarkozy a admis être "rentrée à la maison il y a un an" pour "essayer de reconstruire quelque chose", mais sans y parvenir. "Ce qui m'arrive est arrivé à des millions de gens: un jour, vous n'avez plus votre place dans le couple. Le couple n'est plus la chose essentielle de votre vie, ça ne fonctionne plus, ça ne marche plus", a expliqué l'ancienne "première dame".


"Ce n’est pas ma place"

Au-delà des difficultés personnelles du couple, Cécilia Sarkozy a déclaré vouloir se "retirer de la vie publique" car celle-ci "ne (lui) correspond pas", elle-même se décrivant comme "quelqu'un qui aime l'ombre, la sérénité, la tranquillité". "J'avais un mari qui était un homme public, (…), je l'ai accompagné pendant vingt ans. Ce combat a abouti à un endroit, quelque part où je trouve qu'il est formidable. (...) Mais moi, je pense que ce n'est pas ma place". "Pendant un an, j'ai essayé de m'engager professionnellement, personnellement, mais ça n'allait pas tous les jours", a confié Cécilia Sarkozy, expliquant ses absences répétées à des cérémonies nationales ou internationales par sa volonté de "ne pas (se) montrer, ne pas (s)'exposer, (se) protéger". Ces absences avaient été beaucoup commentées, ainsi lorsqu'elle n'était pas allée voter le jour du second tour de l'élection présidentielle, le 6 mai, ou lorsqu'elle avait quitté de manière impromptue le sommet du G8 à Heiligendamm en Allemagne, le 6 juin.


"Tout ce qui est nominations, je ferme la porte du bureau"


Si elle s'est dite "très fière" de son ex-mari le soir de son élection à l'Elysée, Cécilia a nié avoir "jamais voulu faire d'ingérence en quoi que ce soit" dans ses fonctions. "Tout ce qui est nominations, décisions, je ferme la porte du bureau", a-t-elle déclaré. "Nicolas", dont elle n'a prononcé le prénom qu'à une seule reprise durant cette interview fleuve, "n'a absolument pas besoin de ce genre de conseils", a précisé l'ancienne épouse du président, se décrivant au mieux comme un "garde-fou" pour lui. Collaboratrice de son mari à l'Assemblée nationale, elle a pris en 2002 une place prépondérante dans son cabinet de ministre de l'Intérieur. Elle l'a suivi au ministère des Finances en 2004 comme conseiller technique puis comme chef de cabinet quand il est devenu président de l'UMP.


C'est également Nicolas Sarkozy qui a pris la décision, "sans (lui) en parler parce qu'il a pensé que c'était bien ou mieux pour" elle, de ne pas la faire auditionner par des parlementaires français sur la libération des infirmières bulgares en Libye, a avancé Cécilia Sarkozy.

Je veux bien comprendre que le fait d"etre médiatisé et faire parti de la vie publique soit difficille à gérer pour certains , mais en locurence elle s'attendait à quoi ? Elle a fait la campagne de son mari pour qu'il devienne président , et la elle craque ... C'est vraiment une grande preuve de naiveté de sa part ...

Non je ne trouve pas, dans l'entretien, elle dit bien qu'elle était partie dès 2005.
Imagine-toi un peu les pressions qu'elle a dû subir de la part de Sarkozy pour revenir. Je doute qu'elle l'ait fait de bon coeur, il faut réfléchir au contexte et au personnage qui était son mari...Et elle s'en est tenue à ça puisque finalement, dès le 6 mai, elle n'était plus là. Moi je plains ce qu'elle a dû vivre durant cette pèriode parceque N/S n'est pas un rigolo ni un tendre, je pense que l'affaire Genestar suffit à le prouver...

Franchement sur ce point je suis admirative de cette femme, la prémière à avoir dit "fuck" à des protocoles et mondanités imposées, là o`Claude, Anémone, Danièle et Bernie se sont tues et ont fait profil bas!

Solo a écrit:

Citation :

Dans une interview à l’Est Républicain, la désormais ex-première dame de France s’exprime pour la première fois depuis l’annonce de son divorce avec le chef de l’État.

Quelques heures seulement après l’annonce de son divorce, Cécilia Sarkozy parle. Dans le quotidien régional l’Est Républicain paru vendredi, Cécilia Sarkozy déclare à propos de son couple : " On a tout essayé, j'ai tout essayé. Simplement, ce n'était plus possible". Racontant avoir "rencontré quelqu'un" en 2005, être "tombée amoureuse", puis être "partie" du foyer conjugal, Cécilia Sarkozy a admis être "rentrée à la maison il y a un an" pour "essayer de reconstruire quelque chose", mais sans y parvenir. "Ce qui m'arrive est arrivé à des millions de gens: un jour, vous n'avez plus votre place dans le couple. Le couple n'est plus la chose essentielle de votre vie, ça ne fonctionne plus, ça ne marche plus", a expliqué l'ancienne "première dame".


"Ce n’est pas ma place"

Au-delà des difficultés personnelles du couple, Cécilia Sarkozy a déclaré vouloir se "retirer de la vie publique" car celle-ci "ne (lui) correspond pas", elle-même se décrivant comme "quelqu'un qui aime l'ombre, la sérénité, la tranquillité". "J'avais un mari qui était un homme public, (…), je l'ai accompagné pendant vingt ans. Ce combat a abouti à un endroit, quelque part où je trouve qu'il est formidable. (...) Mais moi, je pense que ce n'est pas ma place". "Pendant un an, j'ai essayé de m'engager professionnellement, personnellement, mais ça n'allait pas tous les jours", a confié Cécilia Sarkozy, expliquant ses absences répétées à des cérémonies nationales ou internationales par sa volonté de "ne pas (se) montrer, ne pas (s)'exposer, (se) protéger". Ces absences avaient été beaucoup commentées, ainsi lorsqu'elle n'était pas allée voter le jour du second tour de l'élection présidentielle, le 6 mai, ou lorsqu'elle avait quitté de manière impromptue le sommet du G8 à Heiligendamm en Allemagne, le 6 juin.


"Tout ce qui est nominations, je ferme la porte du bureau"


Si elle s'est dite "très fière" de son ex-mari le soir de son élection à l'Elysée, Cécilia a nié avoir "jamais voulu faire d'ingérence en quoi que ce soit" dans ses fonctions. "Tout ce qui est nominations, décisions, je ferme la porte du bureau", a-t-elle déclaré. "Nicolas", dont elle n'a prononcé le prénom qu'à une seule reprise durant cette interview fleuve, "n'a absolument pas besoin de ce genre de conseils", a précisé l'ancienne épouse du président, se décrivant au mieux comme un "garde-fou" pour lui. Collaboratrice de son mari à l'Assemblée nationale, elle a pris en 2002 une place prépondérante dans son cabinet de ministre de l'Intérieur. Elle l'a suivi au ministère des Finances en 2004 comme conseiller technique puis comme chef de cabinet quand il est devenu président de l'UMP.


C'est également Nicolas Sarkozy qui a pris la décision, "sans (lui) en parler parce qu'il a pensé que c'était bien ou mieux pour" elle, de ne pas la faire auditionner par des parlementaires français sur la libération des infirmières bulgares en Libye, a avancé Cécilia Sarkozy.

Je veux bien comprendre que le fait d"etre médiatisé et faire parti de la vie publique soit difficille à gérer pour certains , mais en locurence elle s'attendait à quoi ? Elle a fait la campagne de son mari pour qu'il devienne président , et la elle craque ... C'est vraiment une grande preuve de naiveté de sa part ...

Je pense effectivement que Mme Sarkozy n'avait pas les nerfs, ni l'envie (pour reprendre un terme à la mode) de poursuivre l'aventure avec Nicolas sarkozy. Je déplore comme toi ses états d'âme qui ne sont pas de circonstance à ce niveau du point vue du protocole mais aussi du bien de la France. Ce que je déplore le plus, chez Mme Sarkozy c'est son extrème-naïveté entretenu par des jérémiades qui virent aux pathétiques... Souhaitons que les journalistes fassent autre chose que du people.

saco

Oui, une bobonne qui ferme son clapet et qui sert de marche pied voire de paillasson à son marin, c'est mieux...Pour la Fraônce, bien sûr!

moi ce que j'admire c'est que dans les "Dernières Nouvelles d'Alsace" la première page est consacrée a une photo du couple qui se sépare et une vignette concernant une manif d'Hier...

à l'intérieur du même journal : deux pages sur le divorce et un éditorial contre un quart de page sour la grève....


c'est un FLOP complet !

Anna a écrit:

Non je ne trouve pas, dans l'entretien, elle dit bien qu'elle était partie dès 2005.
Imagine-toi un peu les pressions qu'elle a dû subir de la part de Sarkozy pour revenir. Je doute qu'elle l'ait fait de bon coeur, il faut réfléchir au contexte et au personnage qui était son mari...Et elle s'en est tenue à ça puisque finalement, dès le 6 mai, elle n'était plus là. Moi je plains ce qu'elle a dû vivre durant cette pèriode parceque N/S n'est pas un rigolo ni un tendre, je pense que l'affaire Genestar suffit à le prouver...

Franchement sur ce point je suis admirative de cette femme, la prémière à avoir dit "fuck" à des protocoles et mondanités imposées, là o`Claude, Anémone, Danièle et Bernie se sont tues et ont fait profil bas!

Sur ce dernier point je suis d'accord avec toi , mais si elle était amoureuse d'un autre homme , pourquoi est elle revenue auprès de Sarkozy ? Comme tu l'a dit, il a certainement du faire pression sur elle mais ce que j'ai du mal à comprendre c'est pourquoi elle a fait ca maintenant ? Après c'est vrai que le statut de femme du président n'est pas facile et on l'a bien vu avant ...

Anna a écrit:

Oui, une bobonne qui ferme son clapet et qui sert de marche pied voire de paillasson à son marin, c'est mieux...Pour la Fraônce, bien sûr!

Ne soit pas si rapide en jugement. Ne prête pas à Sarkozy d'être un surhomme, et ne prête pas des jugements machistes ordinaires. Oui, l'intérèt de la France est primordial comme celui des français. Nicolas Sarkozy représente la France et les français- il a certains pouvoir que lui confert la constitution.

Je crois Anna que si ton mari ou toi-même arrivez à un poste très important, là en l'occurence politique- politique pris dans le sens de biopolitique au sens deleuzien, c'est à dire gestion du vivant- alors il est nécessaire d'avoir une certaine tenue pour le bien être de tous. Le président de la république n'est pas Sid Vicious, il incarne le suivi démocratique, la continuité de la France et est représentant de la cinquième république. On ne peut donc tolérer que le cirque s'instaure à ce niveau, d'autant tu en conviendras que les ruptures sont souvent prenantes émotionnellement et socialement (procédure de divorce, garde des enfants,...). De plus, le protocole garanti la dignité d'un pays.

bien à toi,

saco

Mais je pense que tout le monde peut appréhender la personnalité de Sarkozy Nicolas. Je pense qu'elle n'a pas eu le choix. Et peut-être (mais là vraiment cela ne tient qu'à moi) que c'est aussi un moyen de lui faire payer ce qu'elle a enduré pendant deux ans que de le lâcher maintenant.

Et quoiqu'il en soit, c'est un problème de couple, interne et intime certainement (ce qu'elle n'évoque à juste titre pas dans l'entretien) comme des millions de français en connaissent. Mais ça reste toujours très facile de blâmer la femme qui lâche son homme au pire moment.
Moi je crois qu'elle est revenue avec lui à contre-coeur mais qu'elle a néanmoins tout fait pour lui permettre d'être élu. Une fois cela fait, elle s'en va, franchement je ne vois pas du tout le problème. D'autant plus que je ne vois pas le problème d'avoir un président (officiellement, il est aussi bon de le mentionner, n'est-ce pas?) doublement divorcé...

Un coureur de jupons alors... Je crains dans ce cas là que les intérèts des français passent après ses frasques et il y aura surement pleins de filles sans neurones mais persuadés de leur liberté prêt à voir le président de plus prèt. Surement même de gauche vu l'absence totale de conviction des journaliste féminine de gauche qui lui court après à longueur de temps pour nous bassiner en off sur le fait qu'il soit facho. A la cour, on attend les faveurs...

Pour le reste, en l'occurence Nicolas Sarkozy (et pas Cécilia) a été élu. Elle devait avoir plus de tenu. Si elle ne voulait pas servir de potishe de la république, il ne fallait pas allé en Bulgarie... Cette femme ne comprend rien, marié à Jacques Martin, puis à Sarkozy, l'ascension a été trop rapide. Je me joindrais jamais aux troupes féministes pour crier au machisme de la société. c'est à la fois une hypocrisie morale de la femme et de la société de vouloir être "pareil" et "différent". Les minorités servent de prétexte aux bonnes âmes de gauche et sont utilisés à merveille par les gros manipulateurs de droite. C'est la règle du pouvoir actuel. Désolé. Vous avez quand même du vous en rendre compte à gauche.

Ce qui compte maintenant c'est que Sarkozy ne perde pas le reste de sa sérinité... Une femme peut faire perdre la tête à un homme dans la rencontre comme dans le départ.

bien à toi,

saco

Lili a écrit:

Et bien il est très beau

Alors profite bien du match de samedi, au cours duquel il sera titulaire, car il s'agit probablement du dernier véritable match des Springboks.

J'ai pas vraiment lu les commentaires poignants de sarkozystes en sanglots mais en gros on peut déduire trois trucs de ce délire :

1. Ca fait plusiserus mois que la procédure a été lancée. Très clairement, le divorce faisait partie du deal présidentiel (remember abstention de Cécilia + je boude la sauterie à la Concorde).

2. Il l'utilise évidemment comme arme politique. Ca faisait un mois que c'est annoncé, le divorce est officiellement prononcé il y a 4 jours mais les journaux ne sont autorisés à le dévoiler pleinement qu'aujourd'hui (comme ça basta la grève).

3. Cécilia a beau être vénale et parvenue, c'est la seule qui résiste à Iznogoud. On peut pas en dire autant de nos socialos minables.

Donc rien de très neuf mais ça confirme ma théorie du Sarko-séducteur avide de conquête qui se fait rattrapper par celles qu'il a laissé tombé (sur le champ politique ça sera l'UMP).

On en fait un fromage alors que cela était à prévoir depuis 2005. Quand Cécilia est revenu je me suis dit que cela ne tiendrait pas et que si elle était revenue c'est pour que Sarkozy puisse atteindre son reve.

Rappelez vous qu'elle a dit ne pas être prete pour etre premiere dame de France. Elle est bien culottée permettez moi