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 L'opposition française a de bons mots pour Sarkozy

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livaste
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livaste


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MessageSujet: Re: L'opposition française a de bons mots pour Sarkozy   L'opposition française a de bons mots pour Sarkozy - Page 2 EmptyLun 3 Sep - 0:51

Présidentielle : les patrons de gauche tombent le masque
[ 30/04/07 ]

Citation :


Elle l'avait répété à plusieurs reprises : le Medef ne donnera pas de consigne de vote. Vendredi, Laurence Parisot a cependant envoyé un message explicite à ses troupes. « Le fait qu'une femme puisse postuler à la présidence de la République est un signe de modernité pour notre pays, mais on ne peut pas s'arrêter non plus à ces considérations-là », a-t-elle expliqué sur Europe 1, regrettant que Ségolène Royal « reste toujours extrêmement vague » sur la compétitivité française et la durée du travail. Sur la dette publique non plus, la présidente du Medef n'a « pas entendu les solutions » que la candidate socialiste « préconisait pour y remédier ». A l'inverse, Laurence Parisot voit dans le programme de Nicolas Sarkozy « des éléments de réponse » allant « dans le sens » d'un « regain de compétitivité de la France », d'une « résorption progressive de la dette » et d'une réforme de l'Etat, sujet que le candidat UMP est, à ses yeux, « l'un des seuls » à vouloir traiter.
Pour être sans surprise, ce positionnement, apparu en filigrane de toute la campagne présidentielle, agace l'entourage de Ségolène Royal. Aussi, à quelques jours du deuxième tour, la sociologue Dominique Méda a-t-elle pris l'initiative d'une pétition patronale en faveur de la candidate PS, dans la continuité de l'appel lancé par vingt-sept économistes de gauche dans « Les Echos », le 4 avril. Cette initiative a reçu le soutien de l'association Les Amis de Ségolène Royal de Pierre Bergé, président de la Fondation Yves Saint Laurent. Pour ce dernier, qui organisait jeudi soir une réunion à Paris avec, notamment, Jacques Rosselin (« Courrier International ») et Jean-Noël Tron (Orange France), il existe « une espèce de suspicion entre la gauche et l'entreprise dont il va falloir sortir » : « Tout ne me plaît pas chez Ségolène Royal, mais je pense, comme elle, que l'Etat doit réguler l'économie de marché, et je suis choqué par un Nicolas Sarkozy qui propose le libéralisme le plus à droite que l'on ait connu depuis Pompidou ».
« Une bonne vision des PME »


Quelques patrons ont donc décidé de se dévoiler. Philippe Lemoine, par exemple. Le PDG de Laser, ancien coprésident des Galeries Lafayette, « aime » la « révolution souriante » de Ségolène Royal et estime que « la personnalité des candidats, leur sérénité, leur façon d'être, aura une influence déterminante ». « On peut être entrepreneur et de gauche, Ségolène a une bonne vision des PME », affirme de son côté Stéphane Distinguin (Silicon Sentier). « Son idée de pacte donnera envie à tout le monde de travailler », avance Fabienne Servan-Schreiber (Cinétévé).
Robert Lion, ancien directeur de la Caisse des Dépôts
, est convaincu qu'avec Nicolas Sarkozy, la méfiance s'installerait dans le pays : « S'il est élu, bonsoir à ceux qui se lèvent tôt ! » Jeudi, le mot de la fin est revenu à Michel Rocard, qui avait fait le déplacement avec Bernard Kouchner. « Il m'aura fallu attendre cinquante-huit ans de militantisme pour voir les socialistes organiser une réunion de patrons, s'est félicité l'ancien Premier ministre de François Mitterrand. Ségolène Royal l'a bien compris, l'avenir est à la réconciliation des salariés et des chefs d'entreprise. »
GUILLAUME DELACROIX
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MessageSujet: Re: L'opposition française a de bons mots pour Sarkozy   L'opposition française a de bons mots pour Sarkozy - Page 2 EmptyLun 3 Sep - 8:42

Tiens salut Livaste !
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MessageSujet: Re: L'opposition française a de bons mots pour Sarkozy   L'opposition française a de bons mots pour Sarkozy - Page 2 EmptyMar 4 Sep - 20:44

livaste a écrit:
Présidentielle : les patrons de gauche tombent le masque
[ 30/04/07 ]

Citation :


Elle l'avait répété à plusieurs reprises : le Medef ne donnera pas de consigne de vote. Vendredi, Laurence Parisot a cependant envoyé un message explicite à ses troupes. « Le fait qu'une femme puisse postuler à la présidence de la République est un signe de modernité pour notre pays, mais on ne peut pas s'arrêter non plus à ces considérations-là », a-t-elle expliqué sur Europe 1, regrettant que Ségolène Royal « reste toujours extrêmement vague » sur la compétitivité française et la durée du travail. Sur la dette publique non plus, la présidente du Medef n'a « pas entendu les solutions » que la candidate socialiste « préconisait pour y remédier ». A l'inverse, Laurence Parisot voit dans le programme de Nicolas Sarkozy « des éléments de réponse » allant « dans le sens » d'un « regain de compétitivité de la France », d'une « résorption progressive de la dette » et d'une réforme de l'Etat, sujet que le candidat UMP est, à ses yeux, « l'un des seuls » à vouloir traiter.
Pour être sans surprise, ce positionnement, apparu en filigrane de toute la campagne présidentielle, agace l'entourage de Ségolène Royal. Aussi, à quelques jours du deuxième tour, la sociologue Dominique Méda a-t-elle pris l'initiative d'une pétition patronale en faveur de la candidate PS, dans la continuité de l'appel lancé par vingt-sept économistes de gauche dans « Les Echos », le 4 avril. Cette initiative a reçu le soutien de l'association Les Amis de Ségolène Royal de Pierre Bergé, président de la Fondation Yves Saint Laurent. Pour ce dernier, qui organisait jeudi soir une réunion à Paris avec, notamment, Jacques Rosselin (« Courrier International ») et Jean-Noël Tron (Orange France), il existe « une espèce de suspicion entre la gauche et l'entreprise dont il va falloir sortir » : « Tout ne me plaît pas chez Ségolène Royal, mais je pense, comme elle, que l'Etat doit réguler l'économie de marché, et je suis choqué par un Nicolas Sarkozy qui propose le libéralisme le plus à droite que l'on ait connu depuis Pompidou ».
« Une bonne vision des PME »


Quelques patrons ont donc décidé de se dévoiler. Philippe Lemoine, par exemple. Le PDG de Laser, ancien coprésident des Galeries Lafayette, « aime » la « révolution souriante » de Ségolène Royal et estime que « la personnalité des candidats, leur sérénité, leur façon d'être, aura une influence déterminante ». « On peut être entrepreneur et de gauche, Ségolène a une bonne vision des PME », affirme de son côté Stéphane Distinguin (Silicon Sentier). « Son idée de pacte donnera envie à tout le monde de travailler », avance Fabienne Servan-Schreiber (Cinétévé).
Robert Lion, ancien directeur de la Caisse des Dépôts
, est convaincu qu'avec Nicolas Sarkozy, la méfiance s'installerait dans le pays : « S'il est élu, bonsoir à ceux qui se lèvent tôt ! » Jeudi, le mot de la fin est revenu à Michel Rocard, qui avait fait le déplacement avec Bernard Kouchner. « Il m'aura fallu attendre cinquante-huit ans de militantisme pour voir les socialistes organiser une réunion de patrons, s'est félicité l'ancien Premier ministre de François Mitterrand. Ségolène Royal l'a bien compris, l'avenir est à la réconciliation des salariés et des chefs d'entreprise. »
GUILLAUME DELACROIX

y avait l'héritière qui s'etait vu rendre un chèque de 7 millions d'euros au printemps...ca avait fait la une des journaux !!! elle a toujours été a gauche elle aussi....
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