Le Président Sarkozy visite l'hôpital de Dunkerque

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M. Sarkozy, accompagné de la ministre de la Santé Roselyne Bachelot, doit ensuite se rendre à l'hôpital maritime de Zuydcoote (Nord) pour visiter l'unité de soins palliatifs. Il y rencontrera les familles des malades, le personnel soignant et les bénévoles sur le thème de l'accompagnement de la fin de vie.

Comme dit Aristote "A vouloir être partout, on est nulle part".

Ca serait bien s'il laissait faire ses ministres et qu'il arrêtait de la jouer populo.

Je ne vois pas l'intêrèt de cette visite.
Il n'y connait rien en medecine, je ne vois pas quel conseil il aurait à donner aux médecins. C'est juste pour parader devant les caméras, comme d'hab.

Il sait que la campagne est finie, là?

Faudrait qu'il bosse maintenant !

Ca, ça devrait être le boulot de sa femme.....

On ne bronze pas très bien à Dunkerque....

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"Il faut prendre conscience qu'il y a beaucoup de douleur et de souffrance et que les personnels qui supportent tout ça méritent de la considération, à la fois morale et financière", a-t-il ajouté.

"La question des missions de l'hôpital est une question essentielle", a-t-il dit. "Si on fait porter l'extrême vieillesse ou l'extrême dépendance à l'hôpital et si on laisse les urgences ouvertes à tout le monde, y compris pour la commodité, vous aurez un hôpital submergé par des missions qui n'auront pas été définies (...) et vous n'aurez jamais les moyens suffisants."

"Naturellement, il va falloir revoir la carte hospitalière, c'est incontournable", a-t-il ajouté, tout en précisant que cela ne signifiait pas nécessairement la fermeture d'établissements.

"On peut faire des fusions sans fermer", a-t-il dit. "Mais on n'est pas obligé de doublonner tous les services."

"Il faut qu'on aille vers la réforme de l'hôpital sans avoir peur. C'est l'immobilisme qui condamnera l'hôpital public", a-t-il conclu.

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"Mon problème de président de la République n'est pas simplement de m'occuper des crises internationales. Bien sûr que c'est mon rôle", a-t-il ajouté. Mais les Français "ont voté pour avoir un président qui s'occupe aussi de la France, qui ait des idées, qui s'engage."

"Le rôle d'un président de la République c'est d'aller là où ça ne va pas, pas d'aller où ça va bien", a dit Nicolas Sarkozy. "Je veux être le président de la France qui a des problèmes."

"Je veux être le président de la France qui a des problèmes."

Ben on verra après les élections s'il continue car il va avoir un sacré travail.
Surtout lorsque la médecine sera à 2 vitesses, à l'américaine.
Mickael Moore vient de sortir à Cannes son documentaire sur le système médical américain et il a adressé un commentaire à Sarkozy : de surtout éviter de casser ce qui existe en France, de ne pas finir comme aux USA.