Nicolas Sarkozy réitère son soutien à Rachida Dati

Tu aurais du te l'appliquer à toi même ces propos , mais non dès ton arrivée tu t'es montré méprisant et chacun de tes messages est une agression !

Cherche une grossièreté de ma part !
Par contre , je peux reprendre les tiennes !
Que tu t'y connaisses en sciences , c'est possible , et je ne te donnerais pas de leçons là dessus , mais que tu viennes pontifier sur la justice que tu ne connais pas , c'est quand même fort !
Et quand on te démontre que tu as tort , monsieur en a marre !

Je n'ai fait que te répondre, mais j'ai décidé d'arrêter l'escalade (et tu noteras que je ne surenchéris pas sur ton aggressivité). De fait, j'aimerais bien repartir du bon pied.

Citation :

NANCY (AFP) - Jamal Dati, l'un des frères de la ministre de la Justice devant être rejugé mardi par la cour d'appel de Nancy pour trafic de stupéfiants, espère que son procès ne "rejaillira pas" sur sa soeur, dans un entretien publié par L'Est Républicain.

"Elle, c'est elle, moi, c'est moi", déclare-t-il au journal. "Ca me dépasse" poursuit-il, affirmant qu'il voulait "prouver qu'il était capable de faire des choses bien dans sa vie".

En février, M. Dati, 34 ans, avait été condamné à six mois d'emprisonnement avec sursis et obligation de se soigner par le tribunal correctionnel de Verdun (Meuse), mais le ministère public avait fait appel de cette condamnation. Le frère de Rachida Dati comparait mardi devant la cour d'appel de Nancy.

Il était poursuivi avec trois autres personnes pour transport de cannabis et d'héroïne, détention, offre ou cession, acquisition, usage et importation de substances illicites.

En 2001, il avait déjà été condamné à trois ans d'emprisonnement, dont 18 mois ferme, pour un trafic d'héroïne dans la région de Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire).

"J'étais dépendant, pas un trafiquant comme j'ai pu lire et l'entendre", affirme Jamal Dati dans son entretien au quotidien lorrain. "Je ne me suis enrichi de rien. Au contraire, je me suis endetté pour pouvoir me fournir", ajoute-t-il.

Son avocat, Me Gérard Michel, espère que son client "sera jugé comme un justiciable normal". "En première instance, avec le sursis et l'obligation de soins, il a été bien jugé. J'espère que la cour (d'appel) confirmera", ajoute-t-il.

M. Dati, père d'un petit garçon de deux mois, s'est reconverti comme tuyauteur dans une entreprise de travaux publics de la Meuse où il travaille depuis deux ans. "Mes patrons m'ont beaucoup aidé. Ils ont toujours été à mon écoute et j'ai envie de m'en sortir", affirme-t-il encore.

Bah, pourquoi on en fait tout un foin de cette histoire ? C'est vrai, après tout, nul ne devrait avoir à être tenu responsable des conneries de leurs proches. Je trouve ça lamentable.

nombrilist a écrit:

Je n'ai fait que te répondre, mais j'ai décidé d'arrêter l'escalade (et tu noteras que je ne surenchéris pas sur ton aggressivité). De fait, j'aimerais bien repartir du bon pied.

Non seulement, tu repars du bon pied mais ta bonne foi suivant également et ça , ça va être plus dur

nombrilist a écrit:

Je n'ai fait que te répondre, mais j'ai décidé d'arrêter l'escalade (et tu noteras que je ne surenchéris pas sur ton aggressivité). De fait, j'aimerais bien repartir du bon pied.

Espérons !

Je ne comprends pas Fortnlux.