Le dette, oui la DETTE

http://www.liberation.fr/actualite/politiques/265271.FR.php

Citation :

Cartons. Didier Migaud, le président socialiste de la commission, ricane:
«Elle ne nous a apporté aucune réponse. Nous lui avons demandé
combien allaient coûter la défiscalisation des heures supplémentaires,
et la déduction des intérêts d’emprunt que la droite avait déjà dans
ses cartons en 2004. Personne ne sait, aucun modèle économique n’a
tourné.»

Je suis pas un fan de la réduction de la dette, je dirais même que c'est un débat qui a pourri l'élection.

Mais en bon électeur, je ricane doucement en voyant ceux qui ont promis et qui vont comprendre qu'ils vont pas y arriver.

Karg Se , les malheurs de la France ne me font jamais ricaner , moi qui vote depuis beaucoup plus longtemps que toi et paie des impots depuis 22 ans deja.

Je ne sais pas si ce gouvernement reduira ou pas la dette. J'attend de voir le projet de loi de finance 2008 ...

S'il echoue , ce sera le point-cle que je regarderai sur les resultats avant de choisir mon candidat pour 2012.

Marco Polo a écrit:

S'il echoue , ce sera le point-cle que je regarderai sur les resultats avant de choisir mon candidat pour 2012.

Il est certain que nous attendons des résultats !
Nous ne sommes pas des fanatiques de qui que ce soit , nous avons fait confiance , mais c'est au Président de remplir son contrat !

Sinon l'article de Liberation est un torchon constitue de 3 reflexions de pissoires

Ouai vous avez de l'espoir, moi pas trop (je suis pessimiste de nature)
Wait and see...

20 minutes a écrit:

Un pari difficile dans la mesure où l’Insee table sur une croissance de 2,1% pour 2007 et ne décelait, à la mi-juin, aucun signe de rebond de l’activité économique. Quant à la volonté d’Eric Woerth de «diviser par deux la progression de la dépense publique (Etat, Sécurité sociale et collectivités locales)» en cinq ans, soit une hausse moyenne un peu au-dessus de 1% par an, elle se heurte à la réalité: celle-ci a atteint ces dix dernières années environ 2,25% par an.

Dans ce contexte, le coût du «paquet fiscal» sera déterminant. Or, les chiffres divergent. Alors que Gilles Carrez, dans son rapport préalable au débat d'orientation budgétaire, tablait sur 9,4 milliards d'euros pour 2008, la ministre de l'Economie, Christine Lagarde, a parlé de 10,1 milliards d'euros pour l’année prochaine et de 13,6 milliards d’euros en régime de croisière. L’opposition, elle, évoque 15 milliards d’euros... Sans compter que, selon «Les Echos», les députés ont alourdi la facture d'environ 150 millions d'euros avec leurs amendements.

Dans ce contexte et dans le contexte d'un euro fort (ce qui pénalisera les exportations), le pari de ce gouvernement semble risquer et encore une fois le budget peu sincère...

saco

Citation :

"Je table sur une dégradation des finances publiques", à cause du coût du paquet fiscal, d'une croissance inférieure aux prévisions gouvernementales et de taux d'intérêt qui augmentent, ce qui alourdit la charge de la dette, souligne Mathilde Lemoine, chef économiste d'HSBC.

"Le point de croissance qui manque manquera encore à l'issue des réformes présentées", poursuit Jean-Christophe Caffet, économiste de Natixis, qui juge que "le paquet fiscal est destiné à stimuler la demande" alors qu'"en France c'est l'offre qui pose problème".

Dans ces conditions, "les déficit publics pourraient franchir le seuil 3% l'an prochain, avec un ratio de dette qui passerait à un peu plus de 65% en 2009", précise-t-il.

Tien tien, ça me rappel les critiques aux sujets du programme de Ségo, relance par la demande, et ben le Sarko il fait pareil...