karg se 2è avertissement
Nombre de messages : 3119 Age : 41 Localisation : Cestas Personnage politique préféré : AWESOM Ô 4000 Parti politique affilié : MDUE: Mouvement Gauchiste Ultralibéral Evolutioniste Date d'inscription : 19/05/2007
| Sujet: Manifeste pour le libéralisme de gauche Jeu 14 Juin - 14:35 | |
| http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=25763
voilà mon dernier article, on peut en discuter ici ou sur Avox
Manifeste pour le libéralisme de gauche
Face au désordre idéologique du Parti socialiste et de la politique économique absurde que l’UMP commence à appliquer, il nous parait indispensable de jeter les bases d’un nouveau paradigme pour la gauche française.
Ce paradigme moderne doit promouvoir la fin de la lutte des classes et de la réconciliation de la société française avec elle-même. C’est la seule condition à l’avènement d’une société de bien-être et d’éthique.
Prenant acte du double l’échec des modèles planificateurs comme source de croissance et des modèles ultralibéraux comme source de bien-être, nous constatons qu’un modèle libéral pragmatique et redistributeur semble être le plus efficace.
Etant convaincu que les idées de gauche dépassent l’idée de communisme ou de socialisme, mais qu’il s’agit avant tout d’une vision humaniste de la société, nous souhaitons la mise en place d’un front politique libéral et de gauche.
Il ne s’agit pas seulement de bon sentiment, les faits montrent qu’une société inégalitaire est moins performante à long terme. De nombreuses nations ne se développent pas à cause d’une trop mauvaise répartition des richesses, à laquelle s’ajoutent des tensions ethniques et religieuses. Une société doit récompenser l’effort et le talent sans pour autant générer des hordes de travailleurs pauvres et d’exclus, surtout quand cette exclusion est souvent transmise d’une génération à l’autre.
Nous acceptons l’approche néoclassique de l’économie, non pas comme une théorie qui nous dit quoi penser et quoi faire, mais plutôt comme un guide de nos réflexions.
Nous ne somme pas dupes, toutes les théories ont leurs limites, nous tâcherons ne pas sombrer dans une certaine suffisance intellectuelle qui considère que l’application aveugle de cette théorie est la solution à tous les problèmes.
Nous reconnaissons le rôle positif de la mondialisation
Nous avons bien conscience que la mondialisation a changé les règles du jeu économique, et que nous ne pouvons plus penser pour nos intérêts locaux sans penser aux enjeux globaux. Notre protectionnisme peut être leur chômage, nos subventions leur ruine.
Nous ne contestons pas l’apport positif de la mondialisation, autant par la croissance économique qu’elle apporte et par les échanges de cultures qu’elle provoque. Ces échanges culturels sont une chance inouïe d’unir l’humanité et d’éviter les guerres futures.Nous soutenons même ce processus s’il se fait dans la légalité, la transparence et l’équité.
Nous soutenons le rôle positif de l’OMC dans l’abolition des barrières aux échanges et dans sa lutte contre les politiques qui empêchent la libre concurrence, ces politiques qui touchent notamment les productions agricoles du Sud. Nous regrettons la vision trop radicale de l’OMC, son système de vote par unanimité qui est une négation de la démocratie, et nous souhaitons qu’elle soit intégrée à l’ONU car l’enjeu est trop important pour qu’il ne soit pas question de politique.
Nous ne soutenons pas une ouverture brutale et sans contrepartie, nous avons bien conscience que l’ouverture des marchés des marchandises et des capitaux ne doit pas anéantir les industries naissantes ni donner en pâture aux capitaux hirondelles des pays aux économies fragiles.
Nous ne voulons pas non plus que l’Europe, dirigée par une commission de technocrates, prennent des initiatives d’ouverture unilatérale du marché européen, notamment envers certains pays exportateurs qui sont beaucoup moins coopératifs quand il s’agit d’aller vendre chez eux nos produits.
Notre pays a les moyens de se battre et d’être à la hauteur du défi de la mondialisation
Nous ne laisserons pas notre pays mourir à petit feux ou accepter la mise en place d’une société du chacun pour soi et Dieu pour tous. Certains pays ont prouvé qu’une économie dynamique et une société solidaire sont compatibles, nous voulons emprunter cette voie, elle ne conduit pas à Londres ou Washington, mais plutôt à Stockholm ou Oslo.
Nous savons qu’il y a une réelle marge de manœuvre politique, ce que les théories libérales proposent sur le papier n’est pas toujours vérifié dans les faits mais aussi parce qu’appliquer ces orientations ne veut pas dire laisser les perdants dans la misère ou l’exclusion. Trop longtemps la gauche a oscillé entre la résignation et l’opposition désespérée, nous devons accompagner ces changements tout en gardant un œil critique sur ce que l’on nous propose.
Nous voulons orienter notre économie vers la compétitivité et l’innovation, nous devons mieux valoriser notre capital humain ; la fuite des cerveaux est absolument intolérable. Développer plus d’emplois qualifiés est la seule solution qui nous permettra de sauver notre modèle économique et social.
Nous avons bien conscience du chemin que nous devons parcourir pour mettre notre pays à niveau dans le domaine scientifique et dans l’enseignement supérieur.
Nous n’imposerons pas aux entreprises des contraintes supplémentaires qui réduisent leur compétitivité, mais nous ne tolérons pas que nombre d’entre elles profitent de la faiblesse ou l’absence de syndicats pour imposer des salaires très faibles et des conditions de travail honteuses, alors qu’elles ont largement les moyens d’améliorer les choses.
Nous n’acceptons pas les réponses simples, les recommandations généralistes de l’OCDE ou du FMI, qui sont souvent contredites par les faits. Nous nous fierons à du concret, à ce qui est valable dans notre pays, pas à l’idéologique et aux grands principes.
Nous imposerons le développement soutenable, non pas par luxe, mais par nécessité, quand les petits intérêts personnels présents sont en opposition avec l’intérêt commun présent et futur ; quand on ne peut pas compenser les effets externes, l’Etat doit trancher et faire un choix résolument tourné vers la prudence et l’avenir.
Ce développement soutenable passera par le contrôle par l’Etat de certains services publics, comme le transport et l’énergie, car certains choix qui garantissent la réduction de l’impact environnemental de ces activités ne sont pas forcément ceux que ferait le marché.
L’Etat doit fournir des biens publics, diriger la politique macroéconomique et assurer la protection sociale .
Chaque pays a sa propre culture, en France les entreprises et les particuliers ne financent pas la recherche et l’enseignement, l’Etat doit donc s’y substituer pour garantir la fourniture de ces biens communs. On ne peut définir ce qui doit être public ou privé en fonction de ce que font les autres pays, mais en fonction de la réalité de notre pays.
Nous n’aimons pas les réponses simples, plus d’Etat où moins d’Etat, nous voulons un Etat qui remplisse son rôle, un Etat plus souple, aussi bien pour se mettre en retrait que pour intervenir fermement quand il le faut. L’actuelle crise de l’immobilier, qui plonge dans la misère nombre d’étudiants et de jeunes salariés, est l’exemple type de situations où le marché ne fonctionne plus, et dans lequel l’Etat doit intervenir sans hésitation pour protéger les plus faibles d’entre nous.
Nous voulons des services publics garantis, ils doivent être planifiés et financés par l’Etat. La continuité territoriale et la notion de service public doivent dépasser la notion de profit. Il doit y avoir des trains, des livraisons de courrier, des lignes de communication par tous les citoyens, au même prix. Il doit y avoir des bus et des métros même aux créneaux horaires les moins rentables. Il doit y avoir des écoles, des hôpitaux et des médecins même là où la population est peu nombreuse. C’est cela le service public, ce n’est pas compatible avec la maximisation du profit d’un entrepreneur, mais avec la maximisation du profit pour l’ensemble de la société.
Nous constations aussi qu’il ne peut y avoir une libre concurrence dans ces secteurs, du fait même de leur nature. Les coûts de mise sur le marché, de concurrence, les pertes d’économies d’échelles rendent le monopole plus performant. On ne peut faire plusieurs autoroutes pour relier la même ville, ni mettre en concurrence des infrastructures très lourdes comme des gares ou la production et l’acheminement d’énergie électrique. Ce ne sont donc pas des biens et des services marchands. Dans ce cas, le privé n’est pas forcément plus efficace que le public, et les monopoles parfois préférables, le monopole public étant la seule garantie d’un contrôle de ses services par l’Etat et donc par la population.
Nous acceptons une gestion privée sous contrat de ces services. Néanmoins nous avons en mémoire certains échecs, notamment celui des chemins de fer britanniques, qui nous donnent à penser que les enjeux sont trop importants pour laisser le privé jouer librement avec les bases mêmes de notre système productif.
Nous voulons plus de décentralisation, plus de régionalisation des décisions, nous ne croyons pas en l’Etat jacobin et aux gouvernements centraux omniscients qui règleront tous les problèmes avec quelques lois décidées à la capitale. Le bottom up, qui fait la vigueur des pays scandinaves, doit être le credo du futur.
Une autre Europe : vers une coordination des politiques, et pas seulement un espace de libre concurrence
Nous voulons une meilleure cohérence politique de l’union. La banque centrale doit garantir la croissance et pas seulement la stabilité de l’euro. Même si nous ne remettons pas en cause son indépendance, nous souhaitons une autre forme de gouvernance, ouverte à des parlementaires, des économistes et pas seulement aux fonctionnaires de l’union.
Nous voulons une harmonisation fiscale et sociale européenne. L’impôt sur les sociétés unique et un Smic européen calculé à partir d’une part du salaire médian du pays nous paraît indispensable pour que la concurrence se fasse sur autre chose que sur le moins-disant social. Même l’OCDE concède que des salaires minimums modérés ont peu d’influence sur le chômage.
La nécessité de dédommager les victimes
Nous ne tolérons pas l’existence de travailleurs pauvres, une société qui laisse ses travailleurs dans la pauvreté n’est pas une société heureuse. Si les entreprises ne peuvent payer décemment ceux qui sont peu productifs, nous ne préférons pas le chômage mais une subvention des emplois qui permet à ceux qui travaillent d’avoir une vie confortable et intéressante.
Nous n’oublions pas ceux qui n’ont pas la chance d’avoir un travail ou qui ne sont pas employables, nous considérons qu’ils doivent vivre décemment, ne pas souffrir de faim, de froid ou de maladie. Le coût du RMI nous parait bien faible par rapport aux conséquences de sa disparition. Beaucoup d’entre eux ne seront jamais employables, malgré les efforts que nous voulons mettre en place pour leur donner une chance de trouver un vrai emploi. Les montrer du doigt nous parait très malsain et hypocrite, notamment quand ce sont des parvenus ou des politiques qui le font.
L’égalité des chances comme principe de société
Nous rejetons tout déterminisme social et ethnique, sans être dupe du fait que c’est plus dur quand on a un nom inhabituel, que son père est ouvrier et que sa mère est femme de ménage.
Nous voulons par tous les moyens permettre à ceux qui ont le talent, la compétence et la volonté, d’accéder à toutes les fonctions, quel que soit leur nom, leur couleur de peau ou les comptes en banque et les relations de leurs parents.
Nous prenons comme principe fondamental l’égalité des chances réelles. Il ne s’agit pas de dire qu’en travaillant la nuit et en étudiant le jour n’importe qui peut réussir, mais de défendre l’idée que les revenus des parents ne doivent pas être un frein aux études et à la réussite sociale.
Nous voulons donner plus d’ambition aux enfants des classes pauvres et immigrées, pour qu’ils prennent une place qui leur revient de droit dans la société, y compris dans les plus hautes sphères. Cela passe par une éducation à la hauteur, avec plus d’efforts pour ceux qui partent avec un handicap.
Une société ouverte de tolérance
Nous combattons le racisme avec une extrême vigueur, la discrimination à l’orientation ou à l’embauche étant pour nous le point essentiel de cette lutte. Un diplôme, un travail, c’est la porte d’entrée de l’intégration réussie. Ceux qui refusent l’ascension sociale des enfants d’immigrés ou des pauvres doivent être sanctionnés avec la plus extrême rigueur.
Nous récusons par la même occasion les tentations communautaristes et régionalistes. La république, la nation, doivent rester notre identité commune, car nos valeurs républicaines doivent passer avant les valeurs religieuses ou traditionnelles.
Une nouvelle école républicaine, plus libre
Nous défendons la laïcité de l’école publique, le creuset républicain. Les parents éduquent leurs enfants à leur guise, mais l’instruction doit être de la même qualité pour tous. Nous reconnaissons la liberté des méthodes, mais pas des objectifs de connaissance.
Nous transcenderons les modèles de J. Ferry, pour promouvoir une école plus ouverte, plus efficace, qui donne plus de libertés aux enseignants, aux enfants et aux parents. Pour autant nous défendons l’école publique, gratuite et obligatoire, principe fondamental qui garantit que tous les enfants recevront une instruction de qualité.
Nous voulons que l’école apporte des connaissances qui feront des citoyens ouverts, tolérants, conscients des réalités, et pas seulement de simples exécutants pour les entreprises. Notre démocratie n’en sera que plus forte, les entreprises aussi, même si elles n’en ont pas toujours conscience.
La solidarité comme principe de la vie commune
Nous défendons l’impôt progressif sur le revenu, l’impôt sur le capital et l’impôt sur l’héritage, nous sommes persuadés qu’ils sont les fondements d’une société ouverte qui défend les faibles contre le fort.
Nos ambitions en matière d’égalité des chances nécessitent des moyens, et nous les prendrons là où c’est juste et là où c’est bon. Il ne s’agit pas seulement d’un problème éthique, mais c’est aussi un problème économique, l’existence de grandes inégalités sociales ne faisant qu’exacerber les tensions de classes, d’ethnies et de religions, ces tensions mettant en danger la croissance et le bien être futur
Nous considérons que l’accumulation de capitaux familiaux, qui fait apparaître des dynasties de rentiers, est un des facteurs majeurs de la faiblesse de l’économie européenne.
Nous voulons mettre fin auxcapitalisme d’héritier, les capitaux doivent revenir à ceux qui les investissent.
Nous devons fermer cette trappe à l’immobilisme qui fait qu’investir dans les secteurs innovants est beaucoup plus difficile en France qu’ailleurs.
Nous considérons comme Alfred Nobel que l’héritage n’encourage que la paresse. Comme Bill Gates et Warren Buffet nous nous opposons aux principes de l’accumulation familiale du capital. Les héritages doivent en grande partie revenir à la communauté car sans elle pas d’enrichissement.
Nous voulons une démocratie renouvelée, moderne, qui fasse confiance aux citoyens. Cette démocratie ne devra pas tomber dans le piège de la démagogie, car nous voulons que la démagogie soit traquée et sanctionnée. Nous voulons des citoyens acteurs, conscients, pas un troupeau de moutons que les politicards mènent à leur guise.
Merci à Tomi, Tanguy, Olivier pour leur aide.
Dernière édition par le Jeu 14 Juin - 15:00, édité 1 fois | |
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deniserp Modérateur
Nombre de messages : 1370 Age : 40 Localisation : Au paradis Personnage politique préféré : Johanna, Flo', Alain Madelin Parti politique affilié : Alternative libérale Date d'inscription : 16/05/2007
| Sujet: Re: Manifeste pour le libéralisme de gauche Jeu 14 Juin - 14:40 | |
| Tu es un libéral de gauche Karg se ? | |
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deniserp Modérateur
Nombre de messages : 1370 Age : 40 Localisation : Au paradis Personnage politique préféré : Johanna, Flo', Alain Madelin Parti politique affilié : Alternative libérale Date d'inscription : 16/05/2007
| Sujet: Re: Manifeste pour le libéralisme de gauche Jeu 14 Juin - 14:52 | |
| Je ne suis pas d'accord avec tout ce que tu dis. Mais ton article montre au moins que tu es ouvert à l'économie de marché. C'est déjà une bonne chose.
Si tu le souhaite, tu peux aller sur le forum liberaux.org et publier cet article (il y'a des libéraux de gauche là bas, mais je crois qu'ils ne seront pas non plus d'accord avec toi sur certains points mais sait-on jamais). | |
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karg se 2è avertissement
Nombre de messages : 3119 Age : 41 Localisation : Cestas Personnage politique préféré : AWESOM Ô 4000 Parti politique affilié : MDUE: Mouvement Gauchiste Ultralibéral Evolutioniste Date d'inscription : 19/05/2007
| Sujet: Re: Manifeste pour le libéralisme de gauche Jeu 14 Juin - 15:01 | |
| merci denis, je vais le faire dans la soirée (nuit) Là je bosse et j'essaye aussi de le défendre sur Avox, l'accueil est très rude, comme je m'en doutais. | |
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vladana 1er avertissement
Nombre de messages : 2141 Date d'inscription : 25/05/2007
| Sujet: Re: Manifeste pour le libéralisme de gauche Jeu 14 Juin - 15:05 | |
| - deniserp a écrit:
- Je ne suis pas d'accord avec tout ce que tu dis. Mais ton article montre au moins que tu es ouvert à l'économie de marché. C'est déjà une bonne chose.
Si tu le souhaite, tu peux aller sur le forum liberaux.org et publier cet article (il y'a des libéraux de gauche là bas, mais je crois qu'ils ne seront pas non plus d'accord avec toi sur certains points mais sait-on jamais). Je crois que la plupart des gens de gauche (except extreme gauche) sont ouverts à l'economie de marché. Il ne faut tout caricaturer. | |
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zarathoustra Engagé
Nombre de messages : 16 Personnage politique préféré : lagardère, bouygue et la française des jeux Parti politique affilié : celui qui pronera enfin une nouvelle manière de faire de la politique Date d'inscription : 19/05/2007
| Sujet: Re: Manifeste pour le libéralisme de gauche Jeu 14 Juin - 16:22 | |
| l'économie de marché n'est pas un mal en soi mais elle doit être encadré. Ceux sont les dérivent du profit qui attisent les haines du capitalisme, tout comme se sont les dérivent totalitaires de stalline qui ont attisés la haine du marxisme. | |
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deniserp Modérateur
Nombre de messages : 1370 Age : 40 Localisation : Au paradis Personnage politique préféré : Johanna, Flo', Alain Madelin Parti politique affilié : Alternative libérale Date d'inscription : 16/05/2007
| Sujet: Re: Manifeste pour le libéralisme de gauche Jeu 14 Juin - 16:36 | |
| Là dessus, je ne te suis pas. D'ailleurs, je ne suis pas Karg se pour tout ce qui concerne les monopoles de certains secteurs qui peuvent très bien fonctionner sous la concurrence. Je ne sais plus qui disait que ce qui croyaient que la concurrence était aveugle mentaient (je ne me souviens plus de la citation exacte). mais je crois absolument que la concurrence ne peut pas être aveugle. Les entreprises productrices d'électricité par exemple ont toutes un pôle de recherche et développement. Ils peuvent très bien fabriquer un produit qui dans l'avenir sera plus économique en énergie ou autre. Pour cela, je ne crois pas non plus qu'il faille donner des subventions aux entreprises. Elles sont tout à fait aptes au progrès technique avec ce qu'elles ont gagner. | |
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karg se 2è avertissement
Nombre de messages : 3119 Age : 41 Localisation : Cestas Personnage politique préféré : AWESOM Ô 4000 Parti politique affilié : MDUE: Mouvement Gauchiste Ultralibéral Evolutioniste Date d'inscription : 19/05/2007
| Sujet: Re: Manifeste pour le libéralisme de gauche Jeu 14 Juin - 23:55 | |
| - Citation :
- Elles sont tout à fait aptes au progrès technique avec ce qu'elles ont gagner.
Si elles ont une structure suffisante et un bon accès au crédit, ce qui n'est pas la cas des PME en France à cause de biais culturel qui réduise la maximisation du bien être. On peut soit regarder les PME innovantes se ramasser ou les aider. | |
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